France
Les parents du gendre ont autorisé les jeunes à vivre dans leur appartement, mais après un certain temps, ils ont posé des conditions strictes.
Laissez-moi vous parler de mes marieurs.
Des gens étranges avec des relations étranges dans la famille. Ma fille a fréquenté leur fils pendant trois ans.
La fille ne voulait pas vivre seule, elle n’aimait pas particulièrement son statut de concubine. Ils n’ont donc pas tardé à la demander en mariage et ma fille s’est récemment mariée. Après le mariage, ils ont emménagé dans la maison de leur gendre. Au début, ma fille n’a rien remarqué d’étrange. Après tout, ils vivent dans son appartement, qu’y a-t-il de mal à cela ? Puis la mère du gendre est arrivée et a dit qu’ils devaient payer pour l’appartement. Mais elle n’a pas donné de montant et, bien sûr, n’a pas fixé de délai, mais leur a demandé de ne pas tarder.
La question est de savoir quel type de relation mon gendre entretient avec ses parents. Il se trouve que mon gendre avait une relation particulière avec ses parents. Il s’est avéré que l’appartement dans lequel les jeunes vivent aujourd’hui lui a été offert par ses parents pour son 20e anniversaire. Mais à certaines conditions : 1. l’appartement doit être enregistré au nom de son père. 2. il doit rembourser le prêt à temps.
Il s’est avéré que mon gendre devait rendre à ses parents un tiers du montant de l’appartement qu’ils avaient offert à leur fils. Ce n’est qu’après avoir payé cette somme que ses parents lui légueront cet appartement. La fille et son mari travaillent tous les deux.
Ils gagnent bien leur vie ; le gendre, bien sûr, davantage. La totalité de son salaire a été consacrée au remboursement de la dette, et il a pris un emploi à temps partiel. Pendant tout ce temps où il vivait aux frais de ma fille, il ne restait que quelques centimes. Il me semble que puisque le couple est maintenant jeune, il doit vivre pour le plaisir. L’esclavage de la dette n’est pas bon pour eux maintenant. En outre, si l’occasion se présente d’offrir un appartement à des jeunes, pourquoi ne pas le faire ? Il s’agit de leur propre enfant ; pourquoi ont-ils besoin de tels plans pour s’enrichir aux dépens des enfants ?